Réalisépar la Communauté de communes le bâtiment est d’une surface totale de 280 m2, comprenant 160 m2 en surface de vente et 120 m2 pour les locaux administratifs, les réserves et la chambre froide. 22 places de parking dont 2 pour handicapés constituent l’a surface d’accueil extérieure. L’ensemble ayant été réalisé par la Communauté de Communes et mis à disposition Victoria– la vente à la ferme, le maraîchage « C’est avec joie que je remplis mes fonctions de vendeuse au Domaine Saint Laurent depuis 6 ans. Ces rencontres régulières autour des légumes, du pain, du fromage et de la viande sont souvent source de blagues ou de rires, parfois d’échanges même profonds humainement. Ventede lait à la ferme des Avouillons is on Facebook. Join Facebook to connect with Vente de lait à la ferme des Avouillons and others you may know. Facebook gives people the power to share and produitde la ferme en ligne autour de moi. The information contained in this website is for general purposes only. The information is provided by whilst we endeavor to keep the information up-to-date and correct, we make no representations or warranties of any kind, express or implied, about the completeness, accuracy, reliability, suitability or availability Fermesde démonstration. Rien de mieux que de voir comment ça se passe sur le terrain,pour appréhender la réalité et envisager une installation ou une conversion en bio. Dans nos fermes de démonstrations des agriculteurs bio témoignent du fonctionnement de leur ferme : système de production, itinéraires techniques, résultats économiques. Notreferme se situe dans la campagne de Blain, non loin du Canal de Nantes à Brest et de la forêt du Gâvre, à 40km au Nord de Nantes en Loire-Atlantique. Nous sommes installés en Agriculture Biologique et transformons le lait de nos 50 vaches en yaourts et desserts Bio fermiers. Nous les commercialisons ensuite en circuit court et prioritairement autour de notre . Avec son oncle, son père et un cousin, Christophe gère une exploitation d’une centaine de vaches laitières à Betton Ille-et-Vilaine, près de Rennes. Face à la crise du lait, il a choisi un moindre mal la vente via une coopérative et directement depuis sa chaque jour depuis quatre ans, Christophe s’est levé à l’aube. A 5h30, le Breton de 32 ans réveille ses bêtes pour la première traite de la journée. Quelque 140 Prim'Holstein alignées dans un bâtiment tout neuf, aménagé il y a deux ans. "Ici, on produit 1,2 million de litres de lait par an", explique le jeune homme en caressant une vache. Il nous reçoit dans son étable, mardi 30 août, alors que les négociations entre Lactalis et des éleveurs se tiennent en Mayenne. "Une grosse partie part en coopérative, chez Agrial, une autre est vendue directement dans notre magasin." La coopérative est un regroupement de producteurs, géré par ses membres. "Sur le papier, c'est plus transparent, plus équitable, mais Agrial est une très grosse structure. Son fonctionnement diffère peu au final des laiteries privées", précise Christophe. A 265 euros la tonne de lait vendue chez Agrial, Christophe vend son lait "un petit peu au-dessus" de la moyenne de la plupart de ses collègues, fournisseurs de Lactalis, le groupe laitier à l’origine de mouvements de contestation. "Mais faut pas rêver, c’est un moindre mal. La filière du lait traverse une crise dramatique." Face à la baisse du prix du lait, 37% des exploitations laitières françaises ont disparu en dix ans, indique le site d’expertise agricole Plein Champ. Le taux de cessation d’activité dans les 60 000 exploitations de France devrait doubler cette année, pour avoisiner les 9%, précise Le Monde. La veille, celui qui s'est syndiqué aux JA Jeunes agriculteurs a rejoint le blocage du site logistique du numéro 1 mondial du lait, à Cesson-Sévigné Ille-et-Vilaine, pour dénoncer les prix imposés par le groupe aux producteurs 257 euros pour 1 000 litres de lait. "Je ne suis pas chez Lactalis, mais je les soutiens. Par solidarité, et parce que Lactalis est le chef d’orchestre de la filière. Ses prix déterminent ceux des concurrents." Comme la plupart des producteurs de lait, Christophe est né "dans le lait". La ferme de La Brandais, sur la commune de Betton, près de Rennes, a débuté avec ses grands-parents à l’après-guerre. Puis elle a été reprise par son père, son oncle, un cousin éloigné et lui. Depuis 1981, l’exploitation d’un hectare est gérée au sein d’un Gaec groupement agricole d’exploitation en commun et s’en sort plutôt bien. Alors que de nombreux producteurs peinent à payer leurs charges et ne se dégagent aucun salaire, Christophe confie à demi-mots réussir à se verser un salaire mensuel "correct", sans plus de détails. La raison ? Une diversification de l'activité et un lait vendu en coopérative à un prix "correct", même s'il est bien en dessous du coût de production entre 300 et 350 euros la tonne de lait. "On vend environ 95% de notre production à Agrial. Le reste, on le transforme et on le vend dans notre magasin, explique Christophe. La vente à la coop nous rapporte environ 320 000 euros par an, la vente directe environ 40 000 euros." Des chiffres indicatifs, puisque "les producteurs ne sont pas maîtres des prix, les laiteries décident pour eux, en fonction de la conjoncture, du marché." C'est en partie pour cette raison que la famille a décidé, il y a quinze ans, de créer un GIE groupement d'intérêts économiques, regroupant plusieurs producteurs, les Douz' arômes. Dans ce petit bâtiment en bordure de la voie express, tout près de l'exploitation, 14 producteurs vendent, quatre jours par semaine, les produits directement issus de leurs fermes. "Les 'Douz'arômes', permet aussi aux clients de nous trouver toute l'année. Quand on faisait les marchés l'été autrefois, certains se plaignaient de ne plus nous trouver l'hiver", explique Didier, l'oncle de Christophe. Dans ce magasin, on trouve des légumes, des fruits, du poulet, du canard, du fromage, des produits laitiers, les traditionnelles galettes et crêpes bretonnes, mais aussi du cidre et des céréales. "On limite les intermédiaires, on valorise notre lait et les clients sont satisfaits", se félicite Christophe. En boutique, le lait est vendu environ 1 euro le litre, contre 26 centimes d'euro à la laiterie. Cela lui a aussi permis de mettre la main à la pâte. "Je fais les crêpes, le riz au lait... J'ai appris sur le tas, je cuisine aussi des recettes de grand-mère !" Chaque producteur récupère l'argent qu'il a gagné en vendant ses produits, mais le GIE prélève des fonds pour l'entretien du magasin et l'emploi de ses salariés, soit 5,5 postes. "C'est un autre métier, mais c'est tout aussi plaisant, précise Didier, j'y ai appris la boucherie, je rencontre les clients." La structure leur permet de se dégager des revenus supplémentaires, mais Christophe prévient "Cela reste minime. Le magasin nous permet de faire vivre une seule personne, mais nous sommes quatre." A long terme, impossible de prédire l'avenir de l'exploitation. "Moi, je me suis installé parce que c'était possible. Il y a quelques années, le prix du lait était très bon, c'était 340 euros la tonne. Avec la fin des quotas, c'est devenu n'importe quoi." Le GAEC peut aussi compter sur la vente de céréales, de blé, de maïs et de colza, produits dans leurs champs. "Une source de revenus complémentaires." En attendant, pourquoi les producteurs ne se tournent-ils pas plus vers la vente directe ? "Tout le monde ne peut pas faire comme nous ! Il faut pouvoir investir, avoir une banque qui accepte de prêter, et être accessible aux clients. Notre exploitation est située près d'une grande ville [Rennes], mais un gars isolé en campagne ne va pas s'amuser à ouvrir un magasin tout seul !" Au-delà de la diversification, une question domine "Qui veut encore acheter notre lait ?" La fin des quotas laitiers, le 1er avril 2015, couplé à la baisse de la demande chinoise et à l'embargo russe ont provoqué une surproduction de lait en France et en Europe. "On a beaucoup plus d'offre que de demande, le prix du lait baisse chaque mois." Le producteur regrette le manque d'alignement des normes au niveau européen "Les normes françaises sont beaucoup plus exigeantes qu'en Pologne ou aux Pays-Bas. Le lait étranger est donc moins cher et les laiteries vont voir ailleurs. On est pieds et poings liés !" Malgré cette situation, Christophe ne pense pas à produire "moins", ni "différemment". "On a investi le matériel pour produire, on doit produire. Ou alors il faut nous indemniser." S'il dit aimer la performance, il ne voit pas, de toute façon, comment faire autrement. L'agriculture biologique ou raisonnée ? Il balaye l'option d'une main Je n'ai pas la mentalité du bio. Et puis ça sert à quoi si les autres pays européens continuent à produire de façon intensive ? Mardi 30 août, Lactalis et les producteurs de lait se sont mis d'accord pour augmenter le prix du lait jusqu'à la fin de l'année. Un accord qui laisse Christophe un peu pantois. "C'est une petite embellie pour toute la filière, c'est certain. Mais jusqu'à quand ?" La vente directe, c’est notre leitmotiv » depuis le reconfinement, Muriel Bard, gérante de la ferme du Bois Cherriot, à Vierzon, plus connue sous le nom de Mumubiquette, accueille les clients pour une vente de fromages de chèvres fermiers. Une vente qui a lieu sept jours sur sept, comme elle le fait depuis trente-cinq ans. Les autres producteurs du secteur de Vierzon poursuivent eux aussi leurs ventes directes à la ferme. C’est le cas de Béatrice Durand, de la Ferme des Places, à Saint-Laurent. Le confinement ne change rien, explique-t-elle. Un tiers de notre production se vend ici à la ferme. Nous respectons les distances. » Elle propose, sept jours sur sept, des fromages de chèvre et des produits laitiers yaourt, faisselle, crème dessert. Comment remplir son panier de produits locaux en pays de Vierzon ? Toute la production est en bio. Mais ce n’est pas tout. D’autres produits bio locaux du département sont en vente savons au lait de chèvre de Massay, pop-corn de Feux, confitures du Relais à Marçais, haricots de Baugy, tisanes de Sagonne… À la Ferme des Oliviers, à Vierzon, la vente directe continue du mardi au dimanche. Au menu, fromages de chèvre et de vache, lait et yaourts. Surtout, cette ferme accueille toujours le Locavor, un drive fermier. À la manière d’un supermarché, les clients commandent leurs produits sur internet et viennent les chercher à la ferme le vendredi en fin d’après-midi ou le samedi matin. Les clients peuvent ainsi choisir parmi trente producteurs locaux confitures de Vierzon, farines biologiques de Rians, viande de vaches limousines d’Orçay Loir-et-Cher, lentilles berrichonnes de Graçay, miel d’Allogny, pommes de Vasselay, bières de Mehun-sur-Yèvre… Pour ce deuxième confinement, les ventes sont plutôt bonnes. J’avais peur que cela soit pire mais les gens continuent à venir, se félicite Camille Henry, de la Ferme des Oliviers. L’impact du confinement est moins important qu’au printemps. Pour les quinze premiers jours, nous n’avions eu personne. Les gens avaient la peur du gendarme. » La ferme des Places, à Saint-Laurent, accueille producteurs, clients et visiteurs, les vendredis soir Entre 60 et 70 paniers sont préparés chaque semaine au Locavor Le Locavor se porte bien également, puisqu’entre 60 et 70 paniers sont préparés chaque semaine. Même sentiment pour Béatrice Durand. Nous sommes restés sur un fonctionnement de boutique habituel », explique-t-elle. Pour Muriel Bard en revanche, le reconfinement se fait sentir. Elle pointe du doigt l’attestation de déplacement dérogatoire. La productrice de fromages a également mis en place une formule de click and collect mais qui n’a pas obtenu le succès escompté Les gens ne sont pas intéressés du tout », déplore-t-elle. Outre la vente directe, la plupart des fermes assurent une présence sur les marchés. Benoît Morin Le Penthièvre vous propose 40 bonnes adresses dans l'agglomération de Saint-Brieuc pour acheter vos denrées alimentaires directement à la ferme. Par Yann André Publié le 27 Mai 22 à 927 mis à jour le 27 Mai 22 à 927 PLAINTEL. La chèvrerie de Gaëlle et Philippe Paranthoën compte plus d'une centaine de têtes. ©!Michel ColinPour se nourrir près de chez soi et faire connaissance avec les producteurs locaux, rien ne vaut les circuits courts. Il y a toujours une bonne adresse à le Moulec. Gérard Le Moulec, vente à la ferme de viande en gros ou au détail bœuf, veau, porc, agneau, 7, rue Danton. Lundi au vendredi 8h-12 h30 et 14h30-19h, samedi 8h-12h30. Sur commande au 02 96 94 11 Ar Goued. Raphaël Alexis vient de reprendre une ferme aux Villages, rue de Berrien. Fromages de chèvre, yaourts, fromages blancs, bûches… Vente directe mercredi et vendredi 17h-19h, dimanche 10h30-12h. Tél. 06 37 15 88 Ville Huet. Benoît Blaise propose poulets, saucisses de volaille, pintades, canards, dindes, lapins entiers ou découpés, porc frais, charcuterie, légumes de saisons, crémerie, cidre, miel, conserves de cerf, orgé, pâtes fermières, produits laitiers, œufs… Route des Rosaires, vendredi 14 h 30-15 h 30 et samedi 10 h-12 h. Tél. 06 34 95 94 29 ou Ville au Roux. Colis de viande de porc à partir de 5 kg. Angélique et Mathieu le Creurer 11, Ville au Roux. Tél. 06 30 03 24 85 ou [email protected]La Rose des Vents. Sébastien Richomme a créé sa microbrasserie en 2019. Il produit trois sortes de bières à base de Malt d’orge biologique. Il est présent sur de nombreux marchés et vend directement au 3, rue de Kerpeux. Sur commande au 06 64 34 51 08 ou [email protected]TrégueuxLa Ville Hervieux. La famille Robert propose fruits et légumes de saison au Gaëc de la Ville Hervieux. Tél. 02 96 71 19 19 ou [email protected]Vidéos en ce moment sur ActuHillionLes Villes Marottes. Les frères Joseph et Bertrand Guernion vendent les produits de leur élevage à la découpe et préparés par un artisan boucher porc sans antibiotiques, veau et génisse. Les Villes Marottes. Sur commande au 02 96 32 22 p’tits légumes. Légumes et fruits bio. Retrait de paniers sur commandes mercredi et vendredi soir à La Ville-Indeloup. Tél. 06 62 79 38 01 ou [email protected]Jardin des Salines. Antoine Cabaret propose carottes, pommes de terre, poireaux et choux, tomates, mâche… Tout en bio. Retraits sur commande mardi et vendredi. Tél. 02 96 63 90 31 ou [email protected] ou Champ Oisel. Poulets Label Rouge. À Saint-René. Sur commande au 06 07 51 86 pré en bulles. Cidre et jus de pomme. Vente directe aux particuliers vendredi 17h-19h et samedi 10h-12h à Carmoen 32, route de Fortville. Tél. 06 47 60 16 de la baie. Jean-Yves Berville propose toute l’année du miel issu de sa production. Contact 5, rue du Rivage, tél. 06 77 29 15 98 ou [email protected]Légumes de la baie. Carottes, pomme de terre, ail, oignon et échalote. Vente directe les mercredis, 14 h-19 h, de août à mars uniquement au 35, rue de la Marne. Tél. 02 96 63 91 Saint-Ilan. Vente directe des produits de l’école plants, fleurs, fruits et légumes de saisons le vendredi 10h-12h et 13h30-16h en période scolaire. Les commandes doivent être passées avant le jeudi soir 18h. Tél. 02 96 52 58 58 ou de sous la ville. Viande bovine, porcine, ovine et volailles, légumes, produits laitiers… Mardi au samedi 9h30-12h30 et 15h-19h. Tél. 02 96 71 97 12 ou Ferme du Buzuk. Laurent Guilcher légumes et plants bios. Avenue des Ajoncs d’Or. Tél. 06 71 40 79 des allées couvertes. Gwennaël Ollivier y cultive sur 3 ha fruits et légumes bio. Vente le vendredi de 17 h à 19 h 30. Tél. 06 47 66 84 Ollivier Jumel cultive de nombreuses variétés de fruits et légumes bio. Vente à la ferme les mardis et vendredis 16h30-19h. Ferme Toutipousse 19, rue des Grinsailles direction le Rocher Goëland. Tél. 06 24 30 57 du Cloët. Volailles fermières et œufs bio. Ferme du Cloët 28, rue de Coëtquen. Commandes au 07 68 12 21 66 ou [email protected]Panier de la Lande. Œufs frais, cidre fermier, fruits et légumes de saison. Agriculture biologique et raisonnée. Livraisons à domicile. Tél. 06 45 91 42 17 ou Croix Péran. Viandes bovines et porcines label rouge, poulets bios. Ferme de La Croix Péran. Chez Bernard et Marie-Bernadette Michelet. Sur commande au 02 96 71 24 69 ou 06 25 80 23 87 ou [email protected]La ville Guinvray. Porcs élevés sur paille sans antibiotiques, volaille, bœuf, veau, produits préparés, cuisine texmex. Mercredi et vendredi 16 h-19 h et samedi 9 h 30 -12 h 30. Sur commande au 06 01 42 80 99 ou [email protected]Saint-DonanLa Blandirie. Produits laitiers lait Ribot, lait pasteurisé, lait à boire, tome de la ferme, petits frais aromatisés… Fromages. Sur commande. Chez Christophe et Véronique Le Fol, route de Quintin. Tél. 02 96 73 94 70 ou [email protected]Saint-JulienJardin de la Coste. Vente directe de légumes de saison. Route de Sainte-Anne-du-Houlin le samedi 9 h-12 h 30 et en semaine sur commande au 06 34 98 35 de la Garenne. Tome de brebis, faisselle, brousse, feta, yaourt nature… Vente à la ferme le vendredi 17 h-19 h et le samedi 11 h-12h30. Ferme de la Garenne. Tél. 07 83 79 31 09 ou [email protected]Prairies de La Noë. Fromages bio au lait de vache. Vendredi 17 h-19 h et samedi 11 h-12h30. Tél. 06 79 99 89 réputation de la pomme de terre de Ploeuc n’est plus à faire. Plusieurs producteurs en vendent sur leur de la lande Valo, Sébastien Choupault, La Lande Valo, 06 62 17 65 du Chesnay d’en haut, Isabelle et Daniel Allo, Le Chesnay-d’en-Haut, 06 81 28 60 Les Norniers, Annick et Patrick Le Feuvre Les Norniers, 06 86 32 96 ferme du millet, Frédéric Ecobichon, Le Millet, 02 96 70 59 de Berlugeon, Marie-Hélène et Frédéric Houée, Berlugeon 06 82 01 64 de la cour de Bayo, Laurent Tardivel, Bayo, 06 75 00 24 de la Guittée, Pascal Rault, Le Chesnaye d’en bas, 06 89 78 54 des 4 vents, Fernand et Loïc Tertre, La Hazaie, 06 74 92 30 la ferme du cèdre bleu, Monique et David Briend, 06 72 73 53 17. PLOEUC. Au royaume de la pommes de terre, de nombreux producteurs font de la vente direc ©Michel ColinRuchers du Pont d’Or. Thierry Colin miel et produits du miel 1, rue de la 06 37 28 57 99 ou [email protected]LanfainsVerger du Clos à Lin. Vente directe de fruits chez Jacques et Pascale Boscher kiwis, fraises, pommes… Pendant la période estivale vous trouverez également tomates, courgettes, concombres et melons. Vergers du Clos à Lin, lieudit La Salle. Tél. 02 96 32 46 55 ou [email protected] ou du Rocher. Morgane Le Méhauté élève des poulets bios. Vente directe samedi 9h-12h30 ou sur les marchés de Plédran, Quintin et Yffiniac. Elle est membres des voisins de panier et du marché nomade. Tél. 06 78 64 66 95 ou Menhir. Endives octobre à mai, courgettes, légumes de saison. Chez Claire et Ludovic Serré, lundi au vendredi 8h-12h, EARL Ty Menhir 2, rue du Tertre Roussel. Tél. 02 96 74 90 55 ou 06 18 80 16 du Chemin Vert. Colis de viande de bœuf, de veau de lait bio et melons. Ferme du Chemin Vert, 4 impasse des fougères. Tél. 06 48 65 75 Haut CorlayLa Garenne Morvan. Élevage de chèvres angora, de tricots et tissages en mohair pulls, vestes, gants, écharpes, couvertures, plaids, chaussettes, chaussons, fils à tricoter… Accueil pédagogique de groupe, camping-car. Vente à la ferme du mardi au samedi 14h-18h et sur rendez-vous. Tél. 02 96 29 44 18 ou HarmoyeLa Pleuroterie. Pleurotes bio extra frais, cueillis juste avant la livraison. Vente à la ferme 3, La Lande de Cartravers le mardi 17h-19h30. Sur le marché de Quintin le samedi matin. Tél. 06 35 56 39 71 ou non article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Penthièvre dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. Charente-MaritimeCreuseDeux-SèvresDordogneGirondeHaute-VienneVienne Publiée le 18 juillet 2021 Bio Nouvelle-Aquitaine se joint pour la première fois à la Fête du Lait Bio ! A l’initiative de ses GABs, Bio Nouvelle-Aquitaine rejoint la Fête du Lait Bio, évènement national créé par la FRAB Bretagne en 2005, pour mettre en avant les filières laitières bio et locales en France. Pour cette première édition, 8 fermes néo-aquitaines se sont lancées dans l’aventure. Trouvez la ferme la plus proche de chez vous La ferme Le Pré Joly 86, Vienne Date Samedi 28 aout Lieu Saint-Gervais-les-Trois-Clochers 86230 Au programme visite de ferme de 16h à 19h gratuit avec un stand de l’association Cultivons la Biodiversité » + buffet spectacle 35 € Modalité d’inscription pour la visite de ferme inscription obligatoire par mail, jauge limitée. Pour le buffet spectacle, réservation obligatoire au 06 04 49 58 47 ou via le site web. Site web Page Facebook Contact mail contact EARL Boissou 87, Haute-Vienne Date Dimanche 29 aout 9h30 à 12h Lieu Saint Victurnien 87420 Au programme Visite de la ferme, dégustation des produits et vente à la ferme Modalité d’inscription inscription obligatoire, jauge limitée réservation par mail à l’adresse suivant Page Facebook Une Chèvre sur un Mur 87, Haute-Vienne Date Les mercredis 1er, 8, 15 et 22 septembre 16h à 18h Lieu Saint-Denis-Les-murs 87400 Au programme visite de ferme et dégustation de fromage et vente à la ferme Modalité d’inscription 15 personnes maximum réservation par mail à l’adresse suivant La Ferme de Candé 17, Charente-Maritime Date Dimanche 12 septembre à partir de 9h30 Lieu Saint-Xandre 17138 Au programme petit déjeuner à la ferme + ouverture exceptionnelle de la boutique durant l’événement. Modalité d’inscription inscription obligatoire, jauge limitée réservation par mail à l’adresse suivant lafermedecande-resa Page Facebook [événement ANNULÉ] La Ferme des Jarouilles 33, Gironde Date Samedi 18 septembre 9h à 18h Lieu Coutras 33230 Site web Page Facebook Le GAEC de Blanchecoudre 79, Deux-Sèvres Date Dimanche 19 septembre Lieu Breuil Chaussée 79300 Au programme Petit déjeuner bio à la ferme Modalité d’inscription inscription obligatoire, jauge limitée réservation par mail à l’adresse suivant gaecblanchecoudre La SCEA Ferme du Prévert 23, Creuse Date 24 septembre Lieu Maisonnisses 23150 Au programme invitation d’une école communale pour un petit déjeuner à la ferme Modalité d’inscription événement réservé à l’école Contact thierryperonne Pour plus d’information sur les évènements Visitez le site web de la Fête du Lait bio Une Fête nationale, tous les week-ends du 29 aout au 26 septembre 2021, pour mettre en avant les filières laitières bio et locales en France La Fête du Lait Bio est née l’été 2005 en Ille-et-Vilaine. A l’occasion, plusieurs fermes ont ouvert leurs portes au grand public. Depuis, chaque année lors de la Fête du lait bio, des fermes s’organisent pour proposer des évènements autour du lait bio au sein même de leur ferme ! C’est un moment privilégié pour pouvoir échanger avec les producteurs-rices, découvrir leurs savoir-faire et leurs valeurs. La Fête nationale du lait bio aura lieu cette année tous les week-ends du 29 août au 26 septembre 2021. Si le traditionnel petit dej’ bio à la ferme sera toujours la star de la Fête du lait Bio, l’événement prendra également d’autres formes fermes ouvertes, goûter… avec toujours l’objectif de valoriser le travail et le métier d’ bio. Pour Delphine Haon, tout a commencé l’été dernier. Il y a tout juste un an était créé, au sein de la ferme Pays, à Vergezac, une exploitation laitière surtout connue pour son fromage aux artisous, un atelier réservé à la fabrication de glaces fermières. Cette petite activité complémentaire à la production de lait, de fromages et de lentilles vertes s’est très vite révélée lucrative. Particulièrement cette saison. Quand le soleil et la chaleur règnent en maître sur la Haute-Loire, le désir de glaces grandit. Ainsi, la ferme Pays présente avec ses glaces au col de Peyra Taillade sur le Tour de France a fait un tabac ! Avec la crise, on cherchait à valoriser notre lait. Les normes particulièrement contraignantes pour la création d’un atelier à la ferme n’ont pas refroidi cette famille d’agriculteurs entreprenante. Delphine, installée en 2013 en GAEC, est associée dans l’activité à son conjoint, Jérémy Pays et à sa belle-mère, Monique Pays. L’atelier emploie aujourd’hui deux salariés. Le projet a été rondement mené il ne lui aura fallu pas plus de deux ans pour être sur les rails. A la ferme d’Aigue Vive dans le Cantal, le lait de vache est transformé en glaces Et celle-ci d’ajouter amusée En plus j’adore la pâtisserie ». La jeune femme, fille d’agriculteurs, a fini par abandonner ses études d’économie pour renouer avec le monde de la ferme et revenir vivre à la campagne. Pour les besoins de la transformation laitière, elle a suivi une formation au CFPPA de Florac en Lozère. L’exploitation Pays possède litres de lait. La moitié de la production est livrée à la laiterie de Beauzac, le reste est transformé. Le lieu de fabrication se trouve à quelques mètres de la salle de traite. Un astucieux système de tuyauterie amène directement le lait des prim’holsteins au tank et de là, une petite quantité est prélevée pour les glaces. Le lait du jour utilisé pour la fabrication des glaces Delphine Haon explique On utilise toujours le lait du jour. Il passe au pasteurisateur, dans lequel on ajoute différents ingrédients en fonction des recettes. Par exemple, du sucre, de la crème, des gousses de vanille, de la pulpe de noix de coco ou des fruits rouges. Le mélange est pasteurisé à 85 °C pour redescendre ensuite très vite à 4 °C. Il convient d’attendre au moins deux heures pour une bonne diffusion des arômes. Autre étape le mélange passe dans une turbine. Le produit est gelé. Pour une glace au chocolat, il faut arriver à - 5 °C, voire - 10 °C pour une glace avec de l’alcool, de la verveine par exemple ». La glace est conditionnée en barquettes de 1 litre, d’un demi-litre ou en petits pots individuels. Recevez par mail notre newsletter éco et retrouvez l'actualité des acteurs économiques de votre région. Une quinzaine de recettes élaborées La jeune femme a élaboré une quinzaine de recettes de la traditionnelle glace à la vanille aux fruits rouges en passant par la verveine. Quatre nouveaux parfums vont être proposés mojito menthe, citron et rhum, menthe-chocolat, spéculoos, chocolat à la pouzzolane du Velay, petit biscuit de Saint-Paul-de-Tartas. Cette dernière recette est tout simplement le fruit d’une rencontre, au coin d’un étal, sur un marché de Haute-Loire. Aurélie Roger élève des chèvres dans l'Allier et vend des glaces Les glaces fermières de Delphine sont vendues à la ferme, Elles sont référencées dans plusieurs enseignes du département, de la Loire et du Puy-de-Dôme, les campings, restaurants ou boulangeries. Delphine ne compte pas ses heures, entre la fabrication, les livraisons sa belle-mère la seconde efficacement, le démarchage, les tâches administratives. Qu’importe, dit-elle, on est jeunes, et puis, quand on veut s’en sortir… ». A la ferme, on ne met pas tous ses œufs dans le même panier Notre activité première c’est d’être éleveurs avant d’être transformateurs. Si l’on n’avait pas la passion de l’élevage, on ne parlerait même pas de transformation », insiste Delphine Haon, associée au sein du Gaec que ses beaux-parents ont contribué à développer ces dernières années. L’exploitation familiale, transmise de génération en génération à Vergezac, possède un beau cheptel 70 prim’holsteins, conduit en race pure. La ferme Pays dispose aujourd’hui de 125 hectares en grande partie utilisés pour la nourriture des bêtes, entre l’herbe et les céréales. L’exploitation est aussi restée fidèle à la lentille verte du Puy. Une quinzaine d’hectares ont été ensemencés cette saison. La moitié vient d’être moissonnée. La famille est plutôt satisfaite de la récolte, un peu perturbée néanmoins par la pluie au moment où les gousses arrivaient à maturité. On ne va pas se plaindre, comparativement aux collègues du plateau », explique Delphine. Grâce à la transformation fromagère on parvient à sauver les meubles. Avec litres de références laitières, la ferme a subi de plein fouet la crise des prix ces derniers mois. Grâce à la transformation fromagère on parvient à sauver les meubles » se réjouit Delphine. Les glaces fermières ne représentent qu’un faible pourcentage des revenus. Trois vaches suffiraient à fournir la quantité de matière première nécessaire. En constante évolution L’exploitation a choisi de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. La production d’énergie photovoltaïque deux bâtiments équipés de panneaux en 2011 et 2013 a apporté le financement pour la stabulation des génisses. Avec l’arrêt de l’engraissement des porcs voilà 4 ans, la porcherie a été transformée en bâtiment d’élevage pour les vaches taries. La ferme Pays est en constante évolution. Philippe Suc

vente de lait Ă  la ferme autour de moi