Lorsd’un achat immobilier, la présence d’un notaire est indispensable. Des frais de notaire seront donc à régler. Découvrez comment se composent ces frais, qui doit les payer et comment s’effectue leur répartition entre taxes collectées pour le compte de l’Etat et rémunération réelle du notaire. Lesfrais de notaire se décomposent en quatre parties : La taxe de publicité foncière qui est beaucoup moins élevée dans le neuf que dans l'ancien. La rémunération du notaire qui se calcule à l'aide d'un tarif proportionnel au prix de vente du bien. Les émoluments des notaires ont été réduits par le barème établi par la loi Macron Basede calcul de la plus-value immobilière. La plus-value est calculée par différence entre le prix de vente et le prix d’achat. Avant d’être imposée, elle peut être réduite d’un abattement pour durée de détention (au-delà de 5 ans de détention). Le prix de vente s’entend du prix réel tel qu’il est stipulé dans l’acte. Dansle cadre d’un prêt immobilier, les frais de dossier peuvent être négociables. Il est possible de demander la suppression des frais de dossier en cas de refus du banquier ou lorsque ceux-ci sont élevés. Dans certaines situations, il est possible de négocier avec le banquier pour faire baisser ces dépenses et notamment en cas de refus Unprêt à 110% pour financer les frais de notaire Inclure les frais de notaire dans son crédit est une des solutions disponibles pour alléger l’acquéreur de cette charge financière lourde. Normalement, l’apport personnel versé par l’emprunteur doit Ainsi il faut compter les frais suivants pour cette garantie : Des frais fixes de 500 euros en moyenne. Des frais variables d’environ 0,8 % du montant emprunté. Pour un emprunt de 200 000 euros, le privilège de prêteur de deniers reviendra à l’emprunteur à environ 2 100 euros, hors mainlevée éventuelle. Notre avis : une garantie qui . À la base de tout projet immobilier, le financement repose sur quelques principes pour décrocher le meilleur taux et obtenir le fameux sésame pour emprunter. Présentez un bon dossier Il faut que vous fassiez bonne impression. C'est la base de tout. Pour cela vous devrez vous montrer sous votre meilleur profil et adopter un comportement financier exemplaire. Les banques aiment la stabilité et la sécurité. Alors attention aux trois derniers relevés de compte ! Ce sont eux qui vont leur permettre d'analyser précisément la façon dont vous gérez vos finances. Évitez les défauts de paiement en général et les découverts… Une banque préférera quelqu'un qui gère bien ses comptes plutôt qu'une personne ayant de gros revenus, mais qui n'arrive ni à épargner ni à "boucler" ses fins de mois avoir un minimum d'apport personnel. C'est la somme dont vous disposez immédiatement avant même de demander un prêt. C'est un élément déterminant et "sécurisant" pour les banques. Elles y voient votre faculté à mettre de l'argent de côté et à gérer correctement votre budget. Plus la somme dont vous disposerez en propre, avant le recours à l'emprunt, sera conséquente et meilleures seront les conditions consenties par la banque. La loi ne fixe aucun montant minimal concernant l'apport personnel. En pratique, elles demandent généralement un apport minimum de 10 % sur le montant de l'achat préparer votre plan de financement. Cela vous permettra de savoir où vous allez financièrement et vous pourrez ainsi négocier avec votre banquier, en mettant en avant des arguments chiffrés. Cela signifie qu'au préalable vous aurez évalué l'épargne dont vous disposez économies, produit de la vente d'un bien immobilier... et estimé votre capacité de remboursement, c'est-à-dire la part de budget que vous pourrez consacrer chaque mois au remboursement de votre crédit. Selon les préconisations du Haut Conseil de Stabilité Financière, le taux d'endettement ne doit pas dépasser 33 % de vos revenus présenter un projet cohérent avec vos capacités financières et vos besoins. Inutile de voir trop grand, trop atypique, trop éloigné de tout… Un appartement bien situé, dans une grande ville ou à proximité, séduira plus qu'une vieille maison au fond des bois nécessitant de lourds travaux. Un bien facile à revendre sera un atout supplémentaire pour rassurer l'établissement prêteur. La domiciliation de revenus Depuis la loi relative à la croissance et la transformation des entreprises loi Pacte de 2019, les banques ne peuvent plus imposer aux emprunteurs de transférer leur salaire dans leurs établissements lorsqu'elles octroient un crédit immobilier. La domiciliation des revenus fait dorénavant partie des arguments pour mettre en concurrence les banques et négocier les conditions d'emprunt. Mettez les banques en concurrence Votre dossier sous le bras et votre projet en tête, il ne vous restera plus qu'à frapper aux portes du plus grand nombre d'établissements bancaires possible. Ne vous limitez pas à votre banque habituelle où vous avez déjà vos comptes. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce ne sera pas forcément elle qui vous proposera les meilleures conditions d'emprunt. Au-delà du taux, ce sont les caractéristiques du prêt qui devront retenir votre attention. Chaque contrat de prêt, voire chaque établissement prêteur, aura ses spécificités qui feront peut-être la différence. C'est pourquoi il ne sera pas inutile de comparer notamment le TAEG taux annuel effectif global qui prend en compte la totalité des frais occasionnés par la souscription d'un prêt intérêts bancaires, frais de dossier, coût de l'assurance obligatoire, frais de garantie ainsi que tous les autres frais qui vous sont imposés pour l'obtention du crédit les offres de prêt à taux fixe et à taux révisable les possibilités et modalités pour augmenter ou diminuer le montant des mensualités les conditions pour rembourser par anticipation et le coût de cette opération les frais de tenue de compte. Comparez aussi les assurances. Si l'assurance emprunteur s'avère obligatoire, le choix de contrat peut s'effectuer en toute liberté. Depuis les lois Lagarde 2008, Hamon 2014 et l'amendement Bourquin de janvier 2018, profitez de la délégation d'assurance. Cette option vous donne plus de latitude pour choisir votre assureur. Vous n'êtes pas obligé d'opter pour le contrat groupe proposé par la banque qui vous accorde le prêt. À condition cependant de respecter une équivalence de garanties. Rappelons que pour déterminer la prime d'assurance, qui pèse de 25 à 30 % dans le coût total d'un crédit immobilier, le contrat tient compte de trois critères clés l'âge de l'emprunteur, son état de santé, actuel et passé, et le montant du crédit emprunté. Il est donc judicieux de bien négocier et de comparer son assurance emprunteur pour faire baisser la note de votre crédit immobilier. Faites-vous accompagner par un courtier Vous manquez de temps pour faire le tour des banques. Aucune des propositions faites par les établissements bancaires ne vous convient. Votre cause n'est pas perdue pour autant. Frappez à la porte d'un courtier. Ses atouts une parfaite maîtrise de la politique commerciale des banques et un accompagnement complet jusqu'à ce que votre dossier soit ficelé ! Il vous fera gagner du temps et de l'argent. Il négociera pour vous un prêt à des conditions attractives taux, délégation d'assurance, montage financier, baisse ou suppression des pénalités de remboursement anticipé…. Il vous aidera à monter et ficeler votre dossier de financement et trouvera pour vous la bonne solution à la fois en termes de durée et de type de prêt. Marie-christine Ménoire Dernière modification le 08/09/2020 Régulièrement appelés frais de notaire, les taxes et honoraires versés aux notaires au moment de l’acte de vente correspondent en réalité à des frais d’acquisition. Parmi lesquels on retrouve Les honoraires du notaire Les droits de mutation Taxes dues au Trésor public 85% des frais d’acquisition Totalement à la charge de l’acquéreur sauf indication contraire, ces frais d’acquisition correspondent à environ 8% du prix du bien dans l’ancien et 2 à 3% dans le neuf. Mais seuls 15% de ces frais servent réellement à rémunérer l’officier public et tout le reste est reversé au fisc. En règle générale, l’apport des emprunteurs sert à couvrir ces frais, mais il est parfois possible de les inclure dans le plan de financement. Les frais de notaire dans l’ancien Lors de l’acquisition d’un logement dit ancien, les frais de notaires sont plus élevés que pour l’achat dans le neuf. Ces derniers s’élèvent généralement à 8% du prix du bien. Tout logement ayant déjà connu une mutation des propriétés est qualifié de logement ancien. Peu importe, que ce soit un appartement ou une maison. Cette définition inclut également tous les immeubles revendus, peu importe le nombre d’années écoulées depuis la construction. Par conséquent si vous achetez un logement d’une valeur de 500 000€ correspondant aux critères ci-dessus, vous devez calculer les frais de notaire de la façon suivante 500 000 x 0,08 = 40000€ En l’espèce, pour l’achat d’un bien ancien d’une valeur de 500 000€, vous devez payer 40 000€ de frais de notaire, soit 8% du montant du bien. Les frais de notaire dans le neuf Un logement neuf est un bien de moins de 5 ans dont la construction est achevée et qui n’a jamais été habité, ni utilisé sous une autre forme. Si vous achetez un logement neuf, vous devez donc payer environ 3% de frais de notaire. Pour un bien de 500 000 € le calcul se décompose de la sorte 500 000 x 0,03 = 15 000€ En l’espèce, pour l’achat d’un bien neuf d’une valeur de 500 000€, vous devez donc payer 15 000€ de frais de notaire, soit 3% du montant du bien. La baisse des frais de notaire la loi Macron Depuis la loi Macron, entrée en vigueur le 1er mai 2016, les émoluments reçus par les notaires ont diminué de 1,4M. À noter qu’il est désormais possible de négocier jusqu’à 10 % de remise sur ces derniers. Toutefois, l’achat doit être supérieur à 150 000 € et les points suivants sont non négociables Chacun des clients doit consentir à la remise Cette remise est totalement facultative Le taux de remise ne peut excéder 10% des émoluments Quant aux petites transactions de moins de 150 000€, la loi indique que les émoluments du notaire ne peuvent en aucun cas dépasser 10% du prix de vente. À retenir Les frais de notaire sont de 2 à 3% du prix du bien dans le neuf Les frais de notaire sont compris entre 7 et 8% du prix d’un logement neuf Les notaires ne perçoivent que 15% du montant des frais La loi Macron permet d’obtenir une remise de 10% sur les émoluments du notaire Alors que les Français restent des inconditionnels de la pierre, tant en termes d’accès à la propriété pour sa résidence principale que de volonté d’acquérir un investissement locatif pour se constituer un complément de revenus, notamment en prévision de ses vieux jours, il nous paraît judicieux de revenir sur la marche à suivre pour épargner en vue d’acquérir un bien immobilier. Découvrez dans cet article les 3 étapes essentielles pour épargner en vue d’acheter un bien immobilier. Définir le montant de l’épargne nécessaire pour l’achat immobilier D’abord, vous devrez définir le montant de l’apport nécessaire à l’achat du bien immobilier visé. Bien évidemment, le montant de cet apport dépendra en grande partie du prix d’acquisition. Mais attention, l’apport devra aussi prendre en compte, en plus du prix d’acquisition, le montant des frais de notaire, des frais d’agence, le coût du crédit immobilier et de l’assurance emprunteur, sans oublier la garantie de prêt immobilier de type crédit logement. Enfin, il sera plus prudent aussi de prévoir une enveloppe pour financer les éventuels travaux ainsi que le mobilier et la décoration. Pour déterminer combien vous devrez mettre de côté, il est important de déterminer combien vous avez déjà réussi à mettre de côté afin de savoir combien il vous reste à épargner. Prêtez aussi attention au temps qu’il vous a fallu pour mettre cette somme de côté, l’idéal étant d’identifier le pourcentage d’épargne que vous tenez dans la durée. Il devrait se situer aux alentours de 15 % mais peut être bien plus élevé si vous avez de gros revenus. Enfin, gardez aussi à l’esprit que le montant nécessaire pour l’apport variera en fonction de l’usage du bien. S’il s’agit d’acheter une résidence principale ou secondaire, l’apport devra idéalement dépasser les 10 % du prix d’acquisition. En revanche, s’il s’agit d’un investissement locatif et que les loyers serviront à rembourser les mensualités du crédit, l’apport pourra être légèrement moindre. Déterminer son horizon d’investissement immobilier Dans un second temps, vous devrez déterminer votre horizon d’investissement en fonction du montant du bien immobilier visé, de l’apport à vous constituer, et de votre capacité d’épargne. Attention à élaborer un projet qui soit en adéquation avec votre patrimoine et vos revenus. Inutile de viser trop haut et de reporter votre achat aux calendes grecques. D’autant que les taux des crédits immobiliers restent actuellement relativement bas et que, même s’il est impossible de prédire le futur du marché immobilier, il est important de souligner que celui-ci, sur le très long terme, est très largement haussier. Il pourra aussi être judicieux de tenir compte de l’usage du bien pour décider ou non de reporter un achat. En effet, l’acquisition de la résidence principale qui permet d’économiser les loyers sera souvent acquise relativement tôt. En revanche, la résidence secondaire pourra elle être acquise bien plus tard et il peut être opportun de repousser l’acquisition d’un an, deux ans, voire plus encore, afin de trouver la maison de ses rêves. Enfin, l’investissement dans un bien locatif peut aussi être repoussé afin de trouver un bien qui sera facilement loué et qui présentera une rentabilité locative satisfaisante, surtout si n’avez pas tout de suite besoin des compléments de revenus permis par cet investissement. Sélectionner des supports d’épargne en fonction du projet immobilier Enfin, vous devrez choisir le support d’épargne selon l’horizon d’investissement de votre projet immobilier. Si vous projetez d’acquérir votre bien dans les mois ou l’année à venir, vous pouvez vous tourner vers les livrets bancaires qui, garantis en capital, vous permettront de retrouver à tout moment l’intégralité des montants mis de côté. Il faudra bien sûr privilégier les livrets bancaires de l’épargne réglementée qui présentent des taux relativement attractifs mais surtout son exonérés d’impôts et de prélèvements sociaux, comme le livret A ou le LDDS. Cependant, ces livrets comportent des plafonds 22 950€ pour le livret A et 12 000€ pour le LDDS peu adaptés à un projet immobilier. Il conviendra donc une fois ces plafonds atteints de se tourner vers les livrets bancaires fiscalisés dont les plafonds sont très élevés votre inexistants. Il est également possible de placer ces sommes, avec un horizon d’investissement court et moyen-terme, sur le fonds euros d’un contrat d’assurance-vie. Là encore, le placement à capital garanti vous permet de retrouver intactes les sommes placées sur ce support à tout moment. Attention toutefois, selon les contrats, le délai pour récupérer ses fonds varie considérablement, de quelques jours à quelques semaines. Enfin, si vous disposez d’un horizon d’investissement moyen-long terme, vous pourrez envisager d’investir en Bourse. Certes, il existe un risque de perte en capital, mais les perspectives de rendement sont aussi potentiellement plus élevées. Vous pourrez investir sur les marchés actions au travers des unités de compte de votre contrat d’assurance-vie, mais aussi sur un PEA mais vous ne pourrez profiter des avantages fiscaux qu’au-delà de 5 ans de détention du plan, ou bien via un compte-titres. Sources des images Freepik Toutes nos informations sont, par nature, génériques. Elles ne tiennent pas compte de votre situation personnelle et ne constituent en aucune façon des recommandations personnalisées en vue de la réalisation de transactions et ne peuvent être assimilées à une prestation de conseil en investissement financier, ni à une incitation quelconque à acheter ou vendre des instruments financiers. Le lecteur est seul responsable de l’utilisation de l’information fournie, sans qu’aucun recours contre la société éditrice de ne soit possible. La responsabilité de la société éditrice de ne pourra en aucun cas être engagée en cas d’erreur, d’omission ou d’investissement inopportun. Le marché immobilier du neuf en France est en pleine expansion. Selon les statistiques officielles, ce sont au total 94 544 logements neufs qui ont été commercialisés en France durant l’année 2021. Les biens immobiliers neufs attirent davantage de futurs propriétaires qui les préfèrent par rapport aux biens immobiliers anciens. L’acquisition d’un logement neuf étant un investissement important, vous devez vous poser les bonnes questions avant de vous lancer. Qu’est-ce qu’un bien immobilier neuf ?SommaireQu’est-ce qu’un bien immobilier neuf ?Quels sont les différents types de logements neufs ?Les logements neufs sur planLes logements neufs achevésLes logements qui ont subi des travauxQuels sont les avantages de l’achat immobilier neuf ?Les frais de notaire revus à la baisseLa garantie constructeurConseils pour bien choisir un bien immobilier neufIdentifiez clairement vos besoinsAchat clé en main ou en VEFA le choix vous revientSélectionnez un promoteur immobilier digne de confiance Un bien immobilier est considéré comme neuf pendant les cinq années suivant sa construction. Lorsque ce délai arrive à expiration, il est qualifié d’ancien. Aussi, tout logement qui n’a jamais été habité par un propriétaire ou loué par un locataire peut être également considéré comme un logement neuf. Choisir son appartement neuf est loin d’être une tâche facile. Heureusement qu’il existe des portails immobiliers qui vous aideront à trouver un logement neuf selon vos critères. Quels sont les différents types de logements neufs ? L’on distingue trois types de logements neufs, à savoir les logements neufs sur plan VEFA, les logements neufs achevés et les logements qui ont subi des travaux. Les logements neufs sur plan Les logements neufs sur plan sont des logements dont l’achèvement est programmé pour un futur proche. Ils correspondent à la Vente en l’Etat Futur d’Achèvement VEFA. Lorsque vous achetez un appartement neuf sur plan, le promoteur vous remet un contrat VEFA qui vous garantit son achèvement futur. Ce contrat vous donne aussi de nombreuses garanties telles que l’approbation de la construction, sa maîtrise ainsi qu’un accompagnement personnalisé. Les logements neufs achevés Les logements neufs achevés concernent les biens immobiliers pour lesquels les travaux de construction ont été terminés au moment de sa vente ou de sa location. Ils sont particulièrement appréciés des futurs propriétaires du fait de leur grande disponibilité. Les logements qui ont subi des travaux Ces types de logements neufs regroupent les biens immobiliers qui ont été récemment rénovés ou surélevés. Il peut s’agir de maisons, d’immeubles ou d’appartements. Quels sont les avantages de l’achat immobilier neuf ? Même si le marché immobilier est composé en majorité de biens immobiliers anciens, l’achat immobilier neuf gagne peu à peu du terrain. Acheter un appartement neuf présente de nombreux avantages allant de la garantie constructeur aux économies d’énergie en passant par la qualité du logement. Immobilier neuf les avantages Les frais de notaire revus à la baisse Lors d’un achat appartement neuf, les frais de notaire correspondent environ à 3 % du prix total du bien. Ces frais sont moins élevés comparativement aux frais de notaire qui s’appliquent aux biens immobiliers anciens entre 7 et 8 %. Outre les frais de notaire, d’autres taxes sont également revues à la baisse au niveau de l’immobilier neuf. Il s’agit de la TVA immobilière plafonnée à 20 % ou encore des droits de mutation. La garantie constructeur La garantie constructeur vous permet de sécuriser tout achat immobilier neuf. C’est le cas de la Garantie Financière d’Achèvement garantie bancaire qui vous assure en cas de défaillance du promoteur immobilier ou de non-respect des délais d’exécution. La Garantie des vices apparents, quant à elle, s’occupe de la couverture de tous les défauts qui sont visibles à l’œil nu. Il peut s’agir par exemple de mauvaises installations électriques, de peintures de mauvaise qualité. Avec cette garantie, vous n’aurez pas à payer ses rénovations à condition de les notifier dans le délai d’un mois après la remise des clés. La garantie de parfait achèvement dure un an et couvre tous les dommages qui font que l’ouvrage n’est pas identique à celui proposé au départ dans le contrat signé. Ici, il est le plus souvent question de carrelage cassé ou de problème de revêtement de sol. Conseils pour bien choisir un bien immobilier neuf Si vous avez été convaincus par les avantages des biens immobiliers neufs, il est temps pour vous de trouver un logement neuf. À défaut d’être une résidence principale ou secondaire, ce bien peut constituer un investissement en Loi Pinel. Voici quelques conseils pour bien choisir votre bien immobilier neuf. Identifiez clairement vos besoins Pour trouver le projet immobilier neuf idéal, identifiez clairement ce que vous recherchez. Tenez compte de certains critères tels que le type de surface, le nombre de pièces ; l’emplacement du logement neuf ville ou quartiers à cibler ; le budget. Pour ce qui concerne le nombre de pièces, il devra dépendre des futurs occupants. Si vous êtes une famille nombreuse, vous aurez forcément besoin de plus de pièces. Au niveau du budget, déterminez votre apport personnel et identifiez les autres sources de financement extérieur famille, amis, prêt immobilier. Avant de souscrire à un crédit immobilier, soyez sûrs que vous disposez suffisamment de ressources pour le rembourser. Achat clé en main ou en VEFA le choix vous revient L’achat clé en main vous permet d’intégrer rapidement votre appartement neuf tandis que dans le cas d’un achat en VEFA, vous devez attendre au moins 2 ans. Chacune de ces options a ses avantages ainsi que ses inconvénients. Étant donné que la demande est relativement grande au niveau des logements déjà achevés, son prix est nettement plus élevé. Quant aux appartements neufs sur plan, ils sont moins coûteux et tiennent compte de vos demandes. À vous donc de choisir l’option qui vous semble la plus profitable. L’achat clé en main un confort assuré Sélectionnez un promoteur immobilier digne de confiance Le choix d’un bien immobilier dans le neuf passe également par le choix d’un promoteur immobilier. Lorsque ce dernier n’est pas digne de confiance, vous risquez de vous faire arnaquer. C’est pour cela que vous devez vous renseigner suffisamment sur les promoteurs immobiliers de votre région. Rendez-vous dans leurs agences et menez des entretiens nourris avec eux. Vous pouvez par exemple demander à voir les différents programmes immobiliers qu’ils ont eu à réaliser. Discutez avec les bénéficiaires desdits programmes afin de recueillir leurs témoignages concernant la fiabilité, le respect des délais ou encore la qualité des ouvrages. La prise en compte de toutes les informations recueillies vous aidera à dénicher les bons promoteurs immobiliers capables de conduire votre projet immobilier neuf. Aucune mission n'est impossible pour votre notaire. Il est incontournable pour la rédaction des actes mais son rôle ne s'arrête pas là. Découvrons les multiples facettes de ce professionnel du droit. Votre notaire assure la sécurité juridique de vos actes L'État délègue au notaire le pouvoir d'authentifier les actes et les contrats. En apposant sa signature et son sceau, il donne à l'acte son caractère authentique. Tous les actes signés chez un notaire sont dits "authentiques" ; ce sont des actes notariés. Il assure ainsi la sécurité juridique pour plusieurs raisons L'acte est rédigé par un professionnel du droit, ce qui évite erreurs et confusions lors de l'établissement du contrat ; Il est conservé 75 ans 100 ans si l'acte concerne des mineurs par le notaire qui l'a rédigé, ce qui rend impossible toute falsification, perte ou détérioration. Vous pourrez toujours en demander une copie. Le contenu de l'acte authentique et sa date sont incontestables. L'acte authentique a "date certaine", à la différence de l'acte sous-seing privé qui, pour avoir cette qualité, doit être enregistré ; L'acte authentique est un acte qui se suffit à lui-même. Au même titre qu'un jugement, il a force probante valeur de preuve et force exécutoire, ce qui lui permet de recourir directement aux procédures d'exécution forcée saisie par exemple, sans passer par l'intermédiaire d'une décision de justice. Votre notaire a un devoir de conseil De par la diversité de ses compétences, le notaire conseille ses clients dans tous les domaines du droit. Il apporte un conseil impartial et adapté à chaque situation. Ce devoir de conseil est une construction jurisprudentielle qui s'est développée au fil du temps. Il engage donc sa responsabilité s'il manque à cette obligation. Il doit éclairer les parties sur les conséquences de leurs engagements, d'un point de vue juridique, fiscal... C'est une obligation de résultat ! Il est ainsi toujours préférable de prendre conseil auprès de son notaire avant de se lancer par exemple dans la création d'une société, dans l'achat d'un bien immobilier ou même de se marier. Les actes qui en seront le résultat auront été pensés en amont, en fonction de votre situation personnelle célibataire, marié..., de votre situation professionnelle salarié, chef d'entreprise... et patrimoniale. Rien n'est laissé au hasard ! Votre notaire a des missions à la carte L'estimation d'un bien immobilier ne s'improvise pas. D'où la nécessité de confier cette mission à un professionnel de l'immobilier qui réalisera votre expertise en toute impartialité. De par sa profession, votre notaire est amené à suivre de très près l'évolution du marché immobilier. Vous pourrez donc compter sur la fiabilité de l'expertise immobilière notariale. Pour ce faire, il s'appuie sur une base de données immobilières fichier PERVAL alimentée par les notaires lors de l'enregistrement de leurs actes. La négociation immobilière peut aussi faire partie des services proposés par l'étude aux vendeurs et/ou acquéreurs d'un bien. Recourir à son notaire c'est opter pour la simplicité et avoir l'assurance d'être accompagné, tout au long de votre projet, par une seule et même personne. La gestion locativeCertaines études offrent aussi un service de gestion locative permettant de louer ou de mettre en location un bien immobilier ou un local commercial en toute quiétude. Votre bail sera ainsi rédigé comme il se doit. Stéphanie Swiklinski Dernière modification le 16/12/2021

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