BASILIQUE SAINT LOUIS-MARIE GRIGNION DE MONTFORT. Dieu seul. Se connecter. ACCUEIL. HORAIRES DE LA LITURGIE. MESSES; CONFESSIONS; ADORATION; CHAPELET; VEPRES; MESSE DU DIMANCHE SOIR. CONTACT. More. Musique et chants. Retrouvez dans cette rubrique le programme de la célébration ainsi que les liens pour écouter les chants. Vous
Lancéen septembre 2016, le chantier de restauration de la basilique de saint Louis-Marie Grignion de Montfort, à Saint-Laurent-sur-Sèvre, a attiré les curieux lundi dernier, lorsqu’il a fallu descendre les quatre cloches par l’extérieur, à 42 m de hauteur. Les cloches de la basilique exposées dans la nef
Consécrationde soi-même à Jésus-Christ, la Sagesse incarnée, par les mains de Marie. Ô Sagesse éternelle et incarnée, ô très aimable et adorable Jésus, vrai Dieu et homme, fils unique du Père éternel et de Marie toujours
OlivierBonnel-Cité du Vatican. La messe d'obsèques du père Olivier Maire, assassiné le 9 août dernier s'est tenue ce vendredi en début d'après-midi dans la basilique Saint Louis Marie Grignon de Montfort, là où le prêtre avait été ordonné il y a 31 ans. Une cérémonie sobre et émouvante en présence des proches du prêtre défunt, des membres de la famille
BasiliqueSaint-Louis-Marie-Grignion-de-Montfort Saint-Laurent-sur-Sèvre: Vendée: Site officiel de la Basilique Saint Louis-Marie Grignion de Montfort: Basilique Saint-Nicolas: Nantes: Loire-Atlantique: Élevée au rang de basilique mineure par le pape Léon XIII le 5 janvier 1882. Basilique Saint-Donatien-et-Saint-Rogatien: Nantes: Loire
31May 2022, 8:00 pm. BASILIQUE ST LOUIS-MARIE GRIGNION DE MONTFORT, 2 PLACE GRIGNION DE MONTFORT, 85290, Saint-laurent-sur-sèvre, 85, France
. Saint Laurent sur Sèvre... Où est ce? Au bord de la Sèvre Nantaise, entre Cholet et le Puy du Fou, dans le bocage de Vendée. Comment se fait t'il que le pape Jean-Paul II est venu dans ce petit village de la France profonde? Nous allons le découvrir. A voir? La basilique... le 28 avril 1716, St Louis Marie Grignion de Montfort, infatigable missionnaire de l'ouest de la France, décède d'épuisement. C'est un village calme au confins de la Vendée. On se souvient de la visite de Jean-Paul II en 1996. Qui est Saint Louis-Marie Grignion de Montfort? Saint Louis-Marie Grignion de Montfort est né le 31 janvier 1673 à Montfort-sur-Meu en Ille-et-Vilaine et est mort le 28 avril 1716 à Saint-Laurent-sur-Sèvre Vendée à l'age de 43 ans, épuisé par sa vie de mission et de pénitences. C'était un prêtre français, fondateur de deux congrégations religieuses la Compagnie de Marie Pères Montfortains et les Frères de Saint-Gabriel. Il fut un infatigable missionnaire de l'ouest de la France, allant de paroisse en paroisse. Il vit pauvrement. Il voulait partir en mission à l'étranger, mais le pape Clément XI qu'il rencontre le 6 juin 1706, lui indique qu'il a beaucoup de travail en France! Il fut inspiré par Sainte Marguerite-Marie de Paray le Monial pour sa dévotion au Sacré Cœur. Il est béatifié en 1888 par Léon XIII, puis il est est canonisé en 1947 par Pie XII. Il a une spiritualité mariale qui inspirera beaucoup Jean-Paul II. De son ouvrage de référence, le Traité de la Vraie Dévotion à Marie, Jean-Paul II en tire sa devise Totus Tuus ego sum et omnia mea tua sunt. Accipio Te in mea omnia» Je suis tout à toi, et tout ce que j'ai, est à toi. Sois mon guide en tout. ____________________________________________________________________
Basilique Saint Louis Marie Grignion de Montfort aussi connu sous le nom de Père Montfort, est mort à Saint Laurent sur Sèvre. La basilique vendéenne se trouvant dans la commune porte donc fièrement son nom, lui qui a tant fait pour la Vendée. Elle repose sur les bases d'une ancienne église datant du 11ème siècle, mais les travaux ont réellement commencé à la fin du 19ème siècle. L'église est un lieu de pèlerinage, de manière générale la ville est très marquée par son esprit catholique avec les écoles de Saint Michel et Saint Gabriel qui possède elle aussi une église à l'intérieur de ses locaux et des communautés Lire tout Au cœur du bocage vendéen, à 10 km du Pu... Au cœur du bocage vendéen, à 10 km du Puy du Fou, Saint-Laurent-sur-Sèvre doit son nom de ville sainte de la Vendée » à Louis-Marie Grignion de Montfort. Quelque 25 000 visiteurs par an comme Jean-Paul II en 1996 viennent se recueillir sur son tombeau dans la basilique. Vous connaissez ? Ajoutez votre opinion et vos photos et aidez les autres voyageurs à découvrir Information La basilique St Louis Marie Grignon de Montfort
Le grand calvaire du P. Grignion de Montfort, à Saint-Laurent-sur-sèvre Franck TompsEn roulant de Nantes vers Poitiers et en suivant de loin en loin la Sèvre, par Clisson puis Mortagne, l'oeil est immanquablement attiré par un gros village en contrebas, tout hérissé de clochers et de bâtiments conventuels. Sanctuaire, abbaye ? Pour le savoir, il faut tourner à main droite, descendre vers ce lieudit et découvrir qu'il est devenu plus familier à l'oreille depuis un certain jour où un pape y fit étape, en 1996 Saint-Laurent-sur-Sèvre, bourgade de 3 500 habitants où mourut Louis-Marie Grignion de Montfort, et souvent qualifiée depuis lors de ville sainte » de la Vendée. Car on est ici aux limites nord-est du département de la Vendée, aux confins des trois provinces du Poitou, d'Anjou et de Bretagne. Bref, au coeur de l'ancienne Vendée militaire » qui s'éleva, tout autour de Cholet, contre les excès de la Révolution. Quelques lieues plus loin, la petite ville de Mauléon fut l'éphémère capitale de l'Armée catholique et royale, sous le nom de Châtillon-sur-Sèvre. Terre dévastée par les colonnes infernales » du général républicain Turreau, tant dans le bocage poitevin que dans les Mauges angevines ; et pays de granit à ce point unanime » que la pratique dominicale pouvait y dépasser les 90 % voici un demi-siècle. Partout dans le paysage, le triomphe des églises néogothiques et des hauts calvaires du XIXe siècle témoigne de l'ardeur avec laquelle la région s'était ainsi donnée à l'Église », selon l'expression de l'historien local Alain Gérard. Le temps n'est pas si éloigné où les grandes missions paroissiales y lessivaient » les âmes, exaltant une foi conquérante dressée à l'ombre des clochers. De ce terroir écartelé par les découpes administratives, où les champs d'éoliennes remplacent les anciens moulins à vent qu'utilisaient comme sémaphores les insurgés de 1793, quelques élus locaux rêveraient parfois de faire un nouveau département du Choletais, empiétant à la fois sur la Vendée, le Maine-et-Loire, les Deux-Sèvres et la Loire-Atlantique Chimère politique, même si un indéniable sentiment d'appartenance rassemble bien ces Bocains » habitants du Bocage réputés industrieux, longtemps préservés du chômage moins de 5 % des actifs, et tout à l'opposé de l'image d'arriération qui fut longtemps accolé aux Ventres à choux » vendéens. Une puissante emprise religieuse On a laissé derrière soi Mortagne-sur-Sèvre, qui appartient désormais au même secteur interparoissial que Saint-Laurent simple chef-lieu de canton de 6 000 habitants mais qui se paie le luxe d'accueillir, enserrant son vieux bourg, pas moins de six grandes zones d'activité aménagées. Désir de vivre au pays, sens de l'épargne et de l'effort partagé, proximité entre les petits patrons et les ouvriers. De fait, tout le haut-bocage situé entre Cholet et Les Herbiers est volontiers appelé le pays des usines à la campagne ». Le père était simple charron, les fils produisent aujourd'hui des machines agricoles sophistiquées ; ou alors petit menuisier, dont les descendants exploitent une marque de meubles renommée. Des sociologues se sont penchés sur cette forme de développement endogène » - le miracle économique choletais ou vendéen - qui ne doit rien aux implantations subventionnées et venues de l'extérieur. Ils y voient, là encore, l'influence du clergé qui aurait christianisé le progrès », surtout depuis la dernière guerre, avec l'Action catholique, sans parvenir pour autant à garder les églises pleines l'esprit d'entreprise comme forme laïcisée, en somme, de l'esprit de mission. À Saint-Laurent-sur-Sèvre, la concentration des clochers témoigne précisément de cette puissante emprise religieuse. Pas moins de cinq d'entre eux s'alignent, dont celui de la basilique et celui le plus haut de la chapelle des soeurs de la Sagesse, véritable église-cathédrale. Il faut y ajouter les lieux de culte plus modestes des Pères montfortains et des Frères de Saint -Gabriel. L'énorme lycée-collège privé, le calvaire monumental situé sur la hauteur accentuent encore cette image de village-sanctuaire, où rien n'échapperait à l'influence des héritiers de Montfort. Le sanctuaire n'échappe pas aux lois du tourisme religieux », Il ne faut pourtant qu'un peu d'attention pour corriger cette première impression. Si la basilique de Saint-Laurent attire 20 000 visiteurs en moyenne pour les deux seuls mois d'été, les flux serrés de pèlerins y sont devenus rares. On y fait plus souvent étape en se rendant au spectacle du Puy-du-Fou, tout à côté, qu'en descendant comme autrefois vers Lourdes. Une aide à la prière est disponible sur place aussi bien en flamand qu'en breton, en swahili qu'en vietnamien. Mais le sanctuaire n'échappe pas pour autant aux lois du tourisme religieux », et la démarche de foi ne se situe plus forcément au premier plan chez tous les gens de passage. Voici la place Grignion-de-Montfort, au centre du village, avec ses quelques commerces. À droite du sanctuaire, une librairie-médiathèque religieuse est animée depuis des années par une douzaine de familles bénévoles. Il s'agit d'un pôle d'achat indépendant, ouvert tout au long de l'année, et donc aussi d'un lieu d'écoute - car un accueil personnalisé n'est possible à la basilique qu'aux beaux jours. Derrière la vitrine de livres et de disques, on se réjouit que la visite de Jean-Paul II ait contribué depuis 1996 à décaper Montfort » d'un certain piétisme un peu suranné. Pour autant, on y rêverait d'un surcroît d'ambition pour ce haut-lieu de visibilité ecclésiale, tant de la part du diocèse Luçon que de la grande famille montfortaine présente sur place. Faire venir un jour des religieux du tiers-monde, pour assurer la relève ? Il faut compter, en attendant, avec les moyens humains existants un recteur du sanctuaire, le P. Antoine Gagnié lire ci-contre, qui se donne sans compter, mais se doit aussi à sa vaste paroisse ; et, en simple appui, des congrégations présentes mais vieillissantes. Il y a les laïcs, heureusement, dont ceux qui siègent au conseil pastoral du sanctuaire. Parmi eux, Michèle Mathé, l'une des permanentes à l'accueil estival dans la basilique. À l'intérieur de cet édifice de style néobyzantin, la jeune retraitée explique l'importance de Saint-Laurent pour bien des chrétiens dits du seuil », gens de passage en rupture de paroisses, anonymes désirant se confesser ou faire simplement bénir leurs médailles Cette foi simple, celle aussi des blessés de la vie, il s'agit de l'accompagner. » Elle et les autres bénévoles en gardent la mémoire écrite sur le registre du sanctuaire Passage d'un intermittent du spectacle employé au Puy-du-Fou », échange avec la famille d'un père montfortain », demande de prière pour un enfant non baptisé » Régulièrement, des groupes de tradition plus dévote passent par ici, amoureux du latin et cherchant dans Montfort une caution à leur mariolâtrie ». De fait, les gens viennent ici de tous les horizons de la carte routière, mais également de la foi, y compris des milieux charismatiques. On s'agenouille à son tour devant la tombe de marbre de Montfort et on l'embrasse, selon l'usage. Tout en vous faisant découvrir le puissant éclairage électrique des voûtes de pierre, le frère préposé au service de la basilique vous explique certaines grâces obtenues par les pèlerins qui viennent prier et brûler des cierges, qui pleurent aussi parfois. Il y a vraiment quelque chose ici, s'émerveille-t-il. Ou plutôt quelqu'un. Il n'est pas vide, ce tombeau ! » Pierre-Yves LE PRIOL
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