Lasécurité des aliments représente une responsabilité commune. Le 7 juin 2020, l’EFSA célèbre la deuxième Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments, aux côtés de ses partenaires nationaux, européens et internationaux, notamment les parrains de l’événement au sein des Nations unies : le Codex Alimentarius,
Lacoupe d’Europe de football a d’ores et déjà montré l’importance des forces de sécurité privée dans ce type d’événement ; il faut en tirer tous les enseignements. Face à la montée des populismes la politique de sécurité est un bastion de la démocratie. Les problèmes sociétaux et les dérives auxquels sont confrontés
Lesprincipaux facteurs sont le non-port de la ceinture de sécurité soit 81 %, vitesse excessive ou inadaptée + 68 % et puis présence
Cybercriminalité la sécurité informatique est l'affaire de tous. Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de
Lasécurité informatique est l'affaire de tous LE MATIN 03 octobre 2016 à 15:02 Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles.
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. Publié le 12/03/2003 à 0000 La sécurité c'est l'affaire de tous »... La direction départementale de la sécurité publique DDSP de Tarn-et-Garonne martelle actuellement ce slogan et tente d'en convaincre les jeunes en menant des actions de sensibilisation auprès des établissements scolaires tarn-et-garonnais. Lundi, les policiers étaient au lycée Montauriol. En avril, ils seront au lycée agricole de Capou... etc. Sécurité? Insécurité? Les policiers ont choisi de traiter plusieurs thèmes au contact des élèves les incivilités, les violences scolaires, familiales, urbaines, racket..., l'alcool et les produits stupéfiants, le civisme, le respect de soi et des autres, le rappel à la loi, le rôle et les missions des policiers. Depuis le début de cette année, les fonctionnaires de la DDSP ont décidé de privilégier le thème de la sécurité routière, sous l'angle de la consommation d'alcool et de l'usage des stupéfiants. A l'appui de leur action, les policiers soulignent que 26 % des accidents corporels concernent la tranche d'âge des 15/24 ans, et que la vitesse et le défaut de maîtrise, mais aussi le refus de priorité... et l'alcool, apparaissent comme les facteurs aggravant de cette accidentologie. Un message d'autant plus pertinent à délivrer aux jeunes tarn-et-garonnais que ce département pointe en sixième position sur les 95 départements français au niveau de la dangerosité de ses routes. ALCOOL, STUPEFIANTS Les élèves montalbanais ont reçu ou recevront au cours des prochaines semaines, un policier animateur et formateur anti-drogue. De la même manière ces élèves devraient se voir proposer une animation avec le simulateur de conduite de la DDE. Dans tous les cas, ces visites des forces de l'ordre dans les collèges et lycées de Montauban permettent de rappeler quelques constantes au service de la sécurité port de la ceinture à l'avant comme à l'arrière, port du casque sur les deux-roues, rappel des taux d'alcoolémie légaux, effets de l'alcool sur l'organisme, comportements liés à l'alcool... Au chapitre stupéfiants, sont passés en revue les grandes familles de produits et les effets qu'ils induisent, leur répercussion sur la santé mentale et physique du sujet, la vente et la consommation des produits stupéfiants... Autant d'éléments portés à la connaissance de ce jeune public qui, une fois informé, peut être en mesure de se prémunir... C'est là toute la philosophie de cette action lancée dans le département il y a deux ans. exemplaires et des tas de bons conseils La sécurité c'est l'affaire de tous » est aussi le titre d'un recueil diffusé à exemplaires auprès des établissements scolaires, des CCAS et de la fédération des aînés ruraux, de la CCI 1... Ce livret balaye une multitude d'aspects Les violences familiales et conjugales », qu'elles soient verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, ainsi que les violences faites aux enfants, avec à la clé des numéros utiles... Le harcèlement ou le viol » avec là aussi des infos pour les victimes y compris mineures sur la conduite à tenir, étant entendu que sur ce type de faits, les mentalités ont évolué, au sein de la police qui prend mieux en compte la détresse des victimes, et de la part des victimes elles mêmes qui osent de plus en plus souvent, rompre le silence... Sécurité en milieu scolaire » avec quelques conseils de bon sens pour limiter les risques de vols et d'agressions et la conduite à tenir en tant que victime, ou en tant que témoins de faits graves qu'il convient de signaler... Personnes âgées, prévention et attention » avec dans ce chapitre, les précieux conseils de prudence visant à déjouer la ruse des voleurs à domicile, mais aussi l'action des malfaiteurs dans la rue, les personnes âgées étant fréquemment victimes de vols à l'arraché... Ce recueil aborde aussi la sécurité routière » avec un rappel du triste palmarès du Tarn-et-Garonne, 6e département français sur 95 en matière de dangerosité des routes, l'alcool » et la drogue » avec un rappel des numéros utiles offrant une prise en charge de la prévention et des soins... Il offre également de précieuses informations sur le cheminement d'une plainte... ______ 1Ce recueil très utile est également disponible à l'accueil des services de police et de gendarmerie de Montauban.
Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront de mieux résister à des pirates informatiques de plus en plus audacieux. "Se protéger, ça passe par des règles", explique à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. "Il y a des règles de conception des systèmes, des règles d'administration de ces systèmes, des règles de gouvernance, des règles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces règles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sécurité à 100%, mais il n'y a plus grand chose qui passe", estime-t-il. Le propos peut paraître bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent à se promener dans des systèmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, détournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. "Au sein des entreprises, il y a évidemment un responsable de la sécurité des systèmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idée, c’est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersécurité le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun à un rôle à jouer", souligne-t-il. Y compris l'intérimaire, généralement oublié dans les procédures, alors qu'il a souvent accès aux systèmes. Pas étonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sécurité et des systèmes d'information soient de moins en moins une réunion de spécialistes. Quelque personnes y sont attendues de mercredi à vendredi, à Monaco. La menace reste des plus sérieuses, d'autant que le problème de la sécurité informatique a longtemps été négligé. L'Etat a identifié plus de 200 opérateurs d'importance vitale OIV, privés et publics, "qui exploitent ou utilisent des installations jugées indispensables pour la survie de la Nation". La loi de préparation militaire les oblige désormais à suivre toute une série de règles très strictes pour faire face à la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. - Rendre les attaques publiques - Et pour les autres ? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. "Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV", raconte Guillaume Poupard. "Et bien, la même chose!" Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles. Or, jusqu'à présent, la plupart d'entre elles préfèrent garder secrètes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux réagir face aux pirates. "On va voir le vrai visage de la sécurité des sociétés françaises, et ça va faire peur", prédit Jérôme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une société spécialisée tout juste rachetée par Orange. Le plus souvent guidés par l'appât du gain, mais aussi par des motivations idéologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du système des entreprises, généralement en passant par les ordinateurs de certains employés. Et pour approcher lesdits employés, on leur fait ouvrir des pièces jointes par mail, on les envoie cliquer sur des pages web vérolées ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquée - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrôle de ses équipements. Quitte à représenter un véritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dérailler un train, prendre le contrôle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver à de telles extrémités, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et là, ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces "ransomwares", et qui ne peuvent espérer récupérer leurs données qu'en payant une rançon.
Voilà un domaine que toutes les composantes de la société prennent à bras-le-corps aujourd’hui en Guadeloupe c’est pourquoi je suis là » m’expliquait à l’entrée du Mémorial’Act ce lundi 28 mars à 15 heures Roland A., chef d’entreprise, venu aux Assises de la Sécurité Routière. J’ai des salariés et je me dois de les protéger des risques encourus ».Les chiffres en effet sont alarmants En 2021 dans notre Guadeloupe 461 accidents de la victimes de la route65 tués sur nos routes dont 14 piétons, 20 motards, 5 cyclistes, 26 chiffres à eux seuls parlent. La courbe est ascendante depuis quelques années c’est pourquoi ces assises ont été mises en place pour qu’une prise de conscience se fasse authentiquement à la fois collectivement et individuellement. Après les associations, les collectivités, toutes les instances éducatives, scolaires, citoyennes, politiques, sanitaires, professionnelles et religieuses étaient invitées à donner leur avis et proposer des solutions pour endiguer ce fléau. Les statistiques et les chiffres font froid dans le dos » déclarent les services préfectoraux. Il nous faut regarder les choses en face, et faire un travail de conscientisation, prévention et de formation » appuie Arlette Oxybel qui promeut à tous les niveaux l’ après-midi les entrepreneurs sont venus apporter leur expertise, conscients qu’ils sont que leurs collaborateurs et salariés sont souvent sur les routes. Nous avons 2480 kms de routes en Gwadloup, et nous avons eu 65 morts l’an dernier 1 mort tous les 38 kms ! Comment pouvons-nous dormir tranquilles ! » Le triptyque comportement, addiction, vitesse est le plus dangereux. C’est sur lui qu’il faut agir. Tous les établissements scolaires d’enseignement en sont bien conscients. Le LEP de Blanchet par exemple est à la proue du navire de cette éducation/prévention chaque année des forums sont créés pour permettre aux jeunes de prendre conscience des dangers et de se responsabiliser les élèves ont la possibilité de faire l’apprentissage sur des simulateurs. L’Enseignement Catholique et les instances de l’Eglise veulent apporter leur pierre à l’ Dieu et aimer l’Eglise, c’est aussi vouloir préserver la famille, faire progresser la société dans le sens du bien commun et apporter la sécurité et le bonheur autour de nous. Montre-moi comment tu conduis, je te dirai qui tu es ?» disait le père Guy Gaucher, quand il était professeur de spiritualité au grand séminaire d’Orléans avant d’être nommé évêque de Lisieux comment tu te conduis dans la vie et comment tu conduis sur la route. Il faut être concret. L’éducation spirituelle c’est aussi l’ancrage dans la vie concrète. Ce pragmatisme du comportement élève l’âme ». N’hésitons pas dans toutes nos réunions de groupes, de formation, de mouvements, d’aumônerie, de catéchèse… de parler de la Sécurité Routière ! Quel engagement de jeune chrétien prenez-vous aujourd’hui à la suite du sacrement de Confirmation que vous recevez ? » avait demandé Mgr Cabo aux jeunes confirmands de l’aumônerie Dom Helder Camara en 2007 à St Jean Bosco. L’un deux avait répondu je m’engage à rendre ma Guadeloupe plus belle en faisant un effort de comportement écologique participer régulièrement aux nettoyages des plages de ma commune ! » Et un autre je m’engage à ne plus boire aucun alcool avant de prendre ma moto, et je m’engage à faire en sorte que la sécurité routière progresse chez nous en respectant les panneaux de circulation et les limitations de vitesse ! » Mgr Cabo les avait félicités chaleureusement et cités en exemples continuez de vivre en chrétiens surtout, et revenez me voir régulièrement pour me dire où vous en êtes de votre engagement et de votre responsabilité, je serai heureux d’échanger avec vous ! »Jean-Marie Gauthier
24 octobre 2013 Les policiers de la BAC de Toulouse interpellent un braqueur de bijouterie, et des déménageurs à proximité font de même avec son complice ! Mercredi 23 octobre dans la matinée, deux hommes casqués font irruption dans une bijouterie de luxe du centre-ville de Toulouse 31 et exigent la remise du contenu du bijoutier parvenant à faire donner l'alarme, les deux malfrats se voient obligés d'accélérer la commission de leur forfait, et prennent la fuite avec tout de même un sac de bijoux d'une valeur de plus de 100 000 euros !Arrivés rapidement sur les lieux, les policiers de la Brigade Anti-Criminalité interpellent l'un des deux braqueurs, porteur du sac rempli des bijoux ce temps, des déménageurs ayant entendu l'alarme parviennent à maîtriser son complice, et le remettent aux effectifs de la BAC en vue de son deux malfrats sont placés en garde à vue, et la brigade criminelle de la sûreté départementale de Haute-Garonne poursuit l'enquête.
Publié le 03/11/2017 à 2052 Le Figaro FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Eric Delbecque et Dan Bellaiche, le lancement d'une vaste concertation sur la police de sécurité du quotidien PSQ par le gouvernement est une initiative qui va dans le bon DELBECQUE est spécialiste des questions de sécurité intérieure et l'auteur du Bluff sécuritaire Editions du Cerf.Dan BELLAICHE est président de la société de sécurité privée PROTECTIM SECURITY SERVICESLa semaine écoulée fut riche en événements sur le front de la sécurité et du drame de Manhattan nous met en garde une fois de plus sur la manière dont nous pensons ledit terrorisme la menace reste présente et des radicalisés basculant dans la violence peuvent frapper à tout moment. Cela ne doit pas susciter une angoisse permanente mais nous inciter collectivement à l'observation et à la réactivité. Face au terrorisme, nous sommes par conséquent contraints de multiplier les vecteurs de vigilance, de développer la culture de l'anticipation et du renseignement. Nous sommes par conséquent contraints de multiplier les vecteurs de vigilance, de développer la culture de l'anticipation et du qui nous mène directement à un autre fait important survenu mardi dans notre pays le lancement d'une vaste concertation sur la police de sécurité du quotidien PSQ. Il s'avère capital de sortir des polémiques stériles sur le retour de la police de solution choisie par le Ministère de l'Intérieur est la bonne solliciter l'expertise des policiers et des gendarmes, écouter de façon attentive le diagnostic qu'ils dressent et s'inspirer de leurs suggestions, c'est recueillir un capital d'expériences cumulées tout à fait d'autant plus que le travail conduit dans le cadre de cette expérimentation bâtie sur le dialogue permettra de réfléchir tout à la fois sur la délinquance et le terrorisme, et donc sur leurs interactions, ainsi que sur le renseignement de terrain, de proximité comme le fait déjà la gendarmerie avec les BTC, les brigades territoriales de contact.La démarche présente aussi l'intérêt d'associer au niveau préfectoral les élus locaux, les représentants des entreprises de transport collectif et les professionnels de la sécurité privée. Cela témoigne de l'affirmation d'une chaîne de sécurité nationale qui excède les seules forces publiques. Ces dernières demeurent bien évidemment l'élément central de notre protection collective, mais elles ambitionnent précisément d'être soulagées de missions qui entravent leur focalisation sur l'essentiel, le cœur de métier» comme on le dit trop régulièrement commise consiste à prétendre que nous marchons vers la privatisation de la sécurité. C'est tout le contraire pour que l'univers régalien puisse réaliser pleinement sa tâche de souveraineté, de maintien de l'ordre et de police judiciaire, il doit bénéficier du concours d'une pléiade d'acteurs, dont certains appartiennent au secteur de certaines tâches, oui c'est indiscutable, nous voyons ce processus à l'œuvre! En revanche, il faut réaffirmer que cette logique de rationalisation ne se confond pas avec une abdication des pouvoirs publics, c'est-à-dire avec une privatisation» de la le dispositif de régulation et de dialogue qui a été créé ces dernières années CNAPS Conseil national des Le but du privé est de faciliter l'action régalienne et de participer à une meilleure sécurisation des espaces, en aucun cas de se substituer à des forces de l'ordre. activités privées de sécurité ; DCS Délégation aux coopérations de sécurité manifeste justement la volonté publique de faire concourir des entreprises spécialisées, correctement organisées et dignes de confiance à l'ensemble de la dynamique de protection des individus et des reste le chef d'orchestre de la chaîne de sûreté des personnes et des biens. Quant à l'ensemble de la chaîne pénale, magistrats au premier chef, elle s'affirme plus que jamais au centre des politiques publiques de sécurité et de justice. Le but du privé est de faciliter l'action régalienne et de participer à une meilleure sécurisation des espaces privés, des entreprises et de la société civile, en aucun cas de se substituer à des forces de l'ordre dont nous constatons le dévouement quotidien dans des conditions souvent difficiles.La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre», vient de rappeler aujourd'hui même le Premier ministre en rencontrant des policiers, des gendarmes, des agents de la sûreté de la SNCF et de la venons de sortir de l'état d'urgence. Si nous souhaitons préserver les fondamentaux de notre Etat de droit et limiter au maximum le recours à des dispositifs juridiques d'exception, il faut - avec énergie - favoriser la collaboration d'un nombre substantiel d'acteurs qui possèdent chacun des avantages spécifiques et des compétences singulières rendant leur action féconde dans la perspective de la protection y parvenir, il convient plus que jamais de cristalliser cette chaîne d'intelligence collective dans la sécurité, qui peut seule atteindre l'objectif vital de diffuser une culture de vigilance qui forme le meilleur rempart de la République et de ses idéaux.
la sécurité est l affaire de tous