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Lesparis sur la pelote basque sont autorisés mais uniquement dans les hippodromes Par MICHEL GARICOIX Publié le 18 janvier 2002 à 00h00 -
Avec236 hippodromes répertoriés au 1 er janvier 2019, la France rassemblerait quasiment la moitié de l'ensemble des hippodromes européens [1].En plus des grands hippodromes parisiens, ceux de Deauville, Vichy ou Cagnes-sur-mer sont réputés. Des inaugurations d'hippodromes se multiplient depuis peu dans le monde arabe et en Asie : l’hippodrome de Meydan, à Dubaï, a été
Toutce qu'il faut savoir sur la course hippique et le monde du turf! Accueil Les hippodromes Lexique hippique Contact. Bienvenue sur Course Hippique. Vous désirez parier dans la course hippique, mais ne savez pas vers quel bookmaker vous tourner ? Nous vous offrons une présentation de différents logiciels de paris en ligne avec leurs particularités, leurs avantages
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. 8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 0126 Au galop comme au trot, il est important de se faire une culture des hippodromes avec une mémoire des spécificités de chacun d'entre eux. Des temples de Longchamp et Chantilly en passant par Nancy et La Teste de Buch, il faut savoir élargir ses horizons pour mieux jouer. Les professionnels ont eux aussi leurs hippodromes de prédilection. Piste en sable fibré PSF Ces pistes ont été créées au début des années 2000 afin de pouvoir courir quelles que soient les conditions atmosphériques. Les hippodromes de Deauville, Pau et Cagnes-sur-Mer disposent d'une PSF. Il existe de véritables spécialistes de la PSF, notamment des chevaux ayant des origines américaines où la majorité des épreuves se dispute sur le Dirt. Il est crucial d'analyser les statistiques des chevaux sur la PSF. Ligne droite Certaines courses se disputent en ligne droite, en particulier sur les hippodromes de Chantilly, Maisons-Laffitte et Deauville. Des chevaux ont une véritable aptitude à ces parcours rectiligne et d'autres, à l'inverse, une véritable aversion. Là encore, il faut en tenir compte au moment d'établir ses jeux. Etat du terrain Au galop l'état du terrain est mesuré avec un pénétromètre, le matin des courses. Cet indice de mesure détermine la souplesse du terrain 2,2 très léger 2,3 à 2,7 léger 2,8 à 2,9 bon, léger 3,0 à 3,2 bon 3,3 à 3,4 bon, souple 3,5 à 3,7 souple 3,8 à 4,1 très souple 4,2 à 4,5 collant 4,6 à 5,0 lourd 5,1 et + très lourd Pour bien jouer, mieux vaut connaître les aptitudes de chaque cheval. Il va de soi qu'un cheval qui démontre une réelle aptitude au terrain lourd, a peu de chance de briller en plein été avec un indice de ! Question de distances Les chevaux ne sont pas à l'aise sur toutes les distances. Les grandes familles se décomposent de la sorte De mètres et mètres, des courses de sprinters De mètres à mètres, des courses de flyers De mètres à mètres, des courses de milers Entre et mètres, on parle de distances intermédiaires mètres est la distance classique, la distance du Prix de l'Arc de Triomphe Au delà de mètres. Des courses de tenue pour stayers Numéros de corde Les turfistes aguerris savent que sur certains parcours, en certaines saisons, les numéros de corde jouent un rôle déterminant à l'arrivée. L'analyse des statistiques de réussite des numéros de corde par hippodrome et par parcours, permet de dégager des règles de base. Par exemple, à Longchamp, quand le terrain est bon et que la lice est à zéro, sur mètres, il faut impérativement privilégier les petits numéros de corde. Published by serg29 - dans LE BA DU GALOP
Québec — Les hommes de chevaux gardent espoir de sauver l'industrie des courses même si le gouvernement du Québec s'apprête à couper les vivres à Attractions hippiques. L'Association trot et amble du Québec ATAQ espère convaincre Québec d'accompagner les gens de l'industrie » dans une nouvelle tentative de relance. Partout où cela fonctionne dans le monde, ce sont les gens passionnés de l'industrie qui gèrent l'activité sous l'égide d'un organisme à but non lucratif. C'est ça la solution. Il faut travailler en partenariat », a dit le président de l'ATAQ, Alain Vallières, hier en entrevue à La Presse canadienne. Bien entendu, le gouvernement est interpellé » pour soutenir cette autre tentative de sauvetage, a poursuivi M. Vallières. Le gouvernement doit travailler en collaboration avec les gens de l'industrie pour s'assurer que les retombées économiques soient dans les régions, dans les produits d'élevage québécois, dans nos fermes et dans l'agriculture », a-t-il dit. La décision du gouvernement de confier les hippodromes à un seul promoteur en 2006, en l'occurrence le sénateur Paul J. Massicotte, a été une catastrophe. Jamais l'industrie n'a été aussi mal en point que sous la férule du sénateur libéral, a soutenu M. Vallières. La privatisation avait pour but de relancer l'industrie. Mais au lieu de la relancer, on relançait la société Attractions hippiques en laissant mourir les courses », a-t-il fait valoir. Le sénateur Massicotte n'a jamais versé les sommes qu'il devait verser » et personne ne l'a forcé à respecter son contrat » avec le gouvernement, a dit M. Vallières. Au cours de la dernière année, a-t-il relaté, l'entreprise de M. Massicotte n'a distribué que 1,5 million en bourses alors qu'elle a empoché plus de 20 millions en remboursement de la taxe sur le pari mutuel et en redevances sur les recettes des appareils de loterie vidéo. Ça fait trop longtemps que ça tarde, et quelqu'un doit mettre ses culottes, a lancé le président de l'ATAQ. Pourquoi ça marche partout ailleurs et pas ici? » M. Vallières se dit convaincu que les courses de chevaux ont encore un avenir au Québec, si seulement elles sont confiées aux artisans. Il n'y a pas suffisamment d'argent dans cet univers pour satisfaire les intérêts d'un promoteur privé et les besoins de l'industrie. C'est incompatible. Il faut que le pari mutuel soit donné à ceux qui oeuvrent dans le domaine », a-t-il analysé. Il y a quelques jours, le ministre des Finances, Raymond Bachand, a réservé un enterrement de première au plan de relance d'Attractions hippiques, qui comportait une radiation de dettes de quelque 40 millions. Le gouvernement Charest a fait savoir qu'il n'injecterait pas un sou de plus pour maintenir cette activité moribonde sur un respirateur artificiel. Il demandera d'ailleurs à la Cour supérieure, le 13 octobre, de mettre fin à ses versements à la société de M. Massicotte. En revanche, Québec versera une aide ponctuelle » de 9,2 millions de dollars aux éleveurs de chevaux de course, d'ici 2012, pour leur permettre de réorienter leurs activités. À voir en vidéo
Publié le 29 déc. 2020 à 1731Mis à jour le 29 déc. 2020 à 1808Membre à part entière de la filière hippique depuis sa création en 1888, Groupe Carrus s'ouvre un nouveau terrain d'action, celui des opérateurs de loteries et de paris sportifs. Cette société familiale, dont l'un des anciens chefs de file, André Carrus, a créé le PMU en 1930 et inventé le tiercé en 1954, vient d'acquérir l'activité terminaux de jeux » du spécialiste de la sécurité numérique et de l'identification Idemia , absorbant ainsi l'un de ses concurrents directs tout en se diversifiant. L'opération, dont le montant n'est pas divulgué, se traduit par un quasi-doublement de sa taille avec un chiffre d'affaires post-acquisition de 75 millions d'euros pour 2020, à comparer à 40 millions l'an génération familialeDans le domaine du pari hippique, dans lequel il intervient en tant qu'industriel - terminaux de prise de paris et systèmes informatiques - et organisateur de la prise de paris - en province notamment -, Groupe Carrus reprend ainsi l'autre grand prestataire du PMU en matière de fourniture de terminaux dans les points de vente. Il complète aussi son portefeuille de clients à l' avec à sa tête aujourd'hui la cinquième génération de dirigeants issus de la famille Carrus, prend pied en outre au Hong Kong Jockey Club , deuxième acteur mondial du pari hippique, dont Idemia était un fournisseur de terminaux, ainsi qu'en Australie par le biais de l'opérateur Tabcorp. Pour sa part, Groupe Carrus était déjà actif en Europe - Allemagne, Belgique, Espagne, et Luxembourg -, en Afrique - Burkina Faso, Mali, Maroc, Sénégal - et au la société familiale, qui équipe 308 hippodromes - dont 234 en France - et fournit des systèmes centraux de pari hippique, fait également son entrée dans le secteur des loteries et celui des paris sportifs. Le secteur hippique en France et dans le monde est mature. Nous voulions à ce titre y renforcer notre position depuis quelques années. Mais nous voulions aussi nous diversifier dans les matériels pour jeux de loterie et paris sportifs, d'autant que ceux-ci connaissent une très forte croissance », explique aux Echos » Timothée Carrus, le directeur général du de la FDJDe fait, Groupe Carrus devient notamment fournisseur de la Française des Jeux , des loteries du Québec et d'Ontario pour le Canada, de celles du Bade-Wurtemberg et de la Bavière en Allemagne, de celle de Catalogne, ou encore de la loterie nationale roumaine et de l'australien Tabcorp. Les jeux de loterie sont la principale activité de l'ex pôle terminaux d'Idemia, vient ensuite le pari hippique puis les paris sportifs », précise Lambert Carrus - frère de Timothée -, directeur du marketing et de la communication du groupe le plan opérationnel, la reprise de l'ex-branche d'Idemia s'accompagne de la création d'une nouvelle entité, Carrus Gaming, afin d'intégrer ses compétences en informatique, électronique, mécanique, acquisition se traduit, dans le cadre de son financement, par l'entrée au capital du groupe familial de BNP Paribas Développement à hauteur de 22,3 %, le reste étant détenu par la famille Carrus.
Un cheval qui a de fortes chances de participer à l’arrivée d’une course n’est pas forcément celui qui a obtenu les meilleures performances. Pour repérer les meilleures chances » d’une course, certaines données sont à prendre en compte lorsque l’on fait le papier. • Comparer les performances en observant la musique» des partants permet de connaître les chevaux souvent placés voir disqualifiés et ainsi de garder ou d’écarter certains concurrents d’un seul coup d’œil. Il faut rapidement réussir à voir si on peut détacher plusieurs chevaux qui paraissent au-dessus des autres ou s’il s’agit d’une course ouverte. Ensuite il faut rentrer dans le détails des performances des chevaux et regarder s’ils ont déjà brillé dans la catégorie de course du jour. Un cheval avec une belle musique ayant participé à l’arrivée de petites courses peut décevoir. À l’inverse, un cheval ayant obtenu des performances moyennes dans des courses relevées et qui redescend de catégorie, peut se mettre en évidence. • Comparer les gains! Il faut obligatoirement regarder combien d’argent a gagné un trotteur dans sa carrière et comparer ce montant avec ceux des conditions de participation de la course, afin de savoir si le cheval est bien engagé. Il peut arriver qu’un cheval soit en retard de gain à la suite d’une blessure ou d’une période ponctuée de nombreuses disqualifications. Moyennant une certaine expérience, un turfiste doit savoir repérer les chevaux qui n’ont pas les gains en rapport avec leur potentiel. • Etudier les lignes des courses de références. Cela signifie regarder le classement et les chronos des courses dans lesquelles les partants du jour se sont déjà affrontés. Il est ensuite nécessaire de chercher d’éventuelles indications en observant comment les chevaux étaient déferrés ce jour là , mais aussi essayer de savoir si leur parcours durant la course s’est bien déroulé ou non. • Prendre en compte la forme d’un cheval. La forme prime la classe» cet adage connu des turfistes aguerris se vérifie régulièrement notamment chez les vieux trotteurs. Il signifie qu’il est préférable de retenir un cheval supposé moins bon mais qui vient de gagner, à un cheval d’une meilleure valeur dont les performances récentes sont moins brillantes. L’adage vaut bien sûr pour des chevaux de même catégorie. La forme saisonnière d’un cheval est aussi une donnée importante à repérer. En effet, beaucoup de chevaux atteignent leur meilleur niveau de forme à une période bien définie de l’année. • Regarder l’aptitude du cheval à la distance. On sait si un cheval apprécie la distance de la course en regardant s’il a déjà obtenu de bonnes performances sur cette distance. • Regarder l’aptitude du cheval à la corde. Un peu comme les hommes, certains chevaux sont droitiers» ou gauchers». Il est important de regarder si un cheval a déjà obtenu de bonnes performances sur des parcours avec une corde identique à celle de la course du jour. • Regarder l’aptitude du cheval à l’hippodrome. On sait si un cheval apprécie l’hippodrome où va se dérouler la course en regardant s’il a déjà obtenu de bonnes performances sur cet hippodrome. Les parcours des hippodromes étant différents, un cheval ayant de bonnes performances sur un hippodrome parisien peut connaître des difficultés d’adaptation en région et inversement. • Analyser et comparer les chronos sur le parcours. Lorsque plusieurs chevaux ont déjà participé à des courses sur le parcours du jour, il est possible de comparer les chronos. Même si la réduction kilométrique dépend souvent du déroulement de la course, cette indication importante permet de détacher certains chevaux. • Prendre en compte le déferrage et les artifices. Le déferrage permet souvent de savoir si un cheval est présenté pour gagner. Certains chevaux ne réalisent de bonnes performances que lorsqu’ils trottent sans leurs fers. Il est alors facile de voir si leur entraîneur a visé la course ou si le cheval court afin de préparer une épreuve à venir. C’est la même chose pour les artifices, à la différence que ces derniers ne sont indiqués sur aucun programme. C’est en observant les différentes courses du cheval que le turfiste pourra profiter de ces informations afin de savoir si le cheval se présente avec des artifices qui lui ont déjà permis de briller. Lorsqu’un cheval est déferré pour la première fois, ou très rarement, il y a de grandes chances pour que son entraîneur attende de lui une place à l’arrivée. Certains chevaux fragiles ne peuvent pas être déferrés ou alors que très rarement, ce qui n’enlève en rien leur qualité, cette donnée doit être prise en compte afin de ne pas les écarter. • Regarder si le cheval fait une rentrée. Certains chevaux courent frais» c’est à dire qu’ils sont prêts à réaliser des bonnes performances même si il n’ont pas participé à une course depuis longtemps. Généralement, les chevaux qui rentrent ont besoin d’un ou deux parcours dans les jambes avant d’être à 100%. Une seule façon de savoir s’ils courent frais», regarder dans l’historique de leurs performances. Cela dépend aussi des entraîneurs, certains sont connus pour présenter leurs chevaux au top le jour de leur rentrée. Il peut aussi arriver qu’un cheval soit victime du syndrome de la 2éme course». Longtemps absent, un cheval peut réaliser une très bonne rentrée mais souffrir de fatigue lors de la course suivante.
L’amour du jeu n’est certainement pas indifférent à tout individu, toutefois, à chacun de déterminer le domaine qu’il préfère. Comme attraction, il y a les jeux de compétition, parmi lesquels se trouvent les courses de chevaux. Ces derniers constituent une réelle possibilité de devenir riche. Mais pour cela, il faut bien savoir parier. Le football est sans doute une discipline plus facile pour se lancer dans les paris. La course de chevaux La course de chevaux est catégorisée comme étant un sport tout à fait comme un autre. Lors duquel, chaque participant monte un cheval et doit faire en sorte de passer en premier la ligne d’arrivée, qu’on appelle également le dernier poteau. C’est donc celui qui y parvient qui gagne la course. Sachant qu’il existe différents types de parcours, qui se distinguent par la manière de monter la bête et les périples communs que tout le monde doit passer. Parmi ceux, il y a le plat, qui oppose les galopeurs avec leur monture sur quelques kilomètres. Par la suite, la course d’obstacles, dont le principe reste le même à l’exception de la difficulté du jeu face aux entraves des barres, des bassins et autres. Vient ensuite la course à trot, celle-ci fait plus office de technique que d’endurance. La raison est qu’au cours de la compétition, il est interdit de faire du galop sous peine de disqualification. Ainsi, le challenge est plus dur, car la durée est prolongée et l’effort multiplié. Il existe par ailleurs un autre type de course par lequel, le cheval n’est pas monté directement, mais tire un char portant son jockey. Parier sur les courses de chevaux Le type de jeu le plus facile est d’opter pour un cheval et de parier sur sa victoire ou qu’il arrive trois premiers. Ce dernier n’est toutefois pas validé s’il y a moins de huit participants et qu’il arrive troisième. Par la suite, il y a le Tiercé, l’idée est de déterminer les trois premiers qui vont franchir le dernier poteau. À part cela, le Quarté +, suivant la logique, définir les quatre premiers. Au sujet du Quinté +, celui-ci offre un profit exponentiel en raison du nombre de chevaux à trouver. De plus, un numéro de ticket est chaque jour attribué au hasard au titre de +. Cela signifie que le gain du propriétaire sera multiplié par dix en cas de victoire. En notant que pour chaque pari, le gain est différent en fonction du classement des chevaux. C’est là que le principe d’ordre ou de désordre est utilisé. Il est en effet plus gratifiant et récompensé lorsque le parieur trouve l’ordre exact des chevaux. Concernant le système de récompense, cela se calcule par le total des mises qui est suivi de près par l’État pour veiller à son bon fonctionnement et régularisation. Ainsi, un prorata se fait et c’est à partir de là que les responsables indiquent la somme gagnée. L’étape du pari n’est certainement pas la plus difficile. Une fois le choix fait, il suffit d’aller au guichet et de payer la mise ou le prix du ticket.
ce qu il faut savoir sur les hippodromes